mercredi 21 octobre 2009

L’Ancien Conseiller de Thatcher: « L’objectif de la conférence de Copenhague est de former un Gouvernement Mondial »


« Le réchauffement climatique» sert de « prétexte» au «changement».
Un ancien conseiller scientifique du Premier ministre britannique, Margaret Thatcher a affirmé que l’objectif principal de la conférence des Nations unies sur le changement climatique tenue à Copenhague du 7 au 18 décembre était de profiter du réchauffement climatique pour mettre sur pied les bases d’un gouvernement mondial.
Jeudi dernier, Lord Christopher Monckton confiait à l’audience de l’Institut du Minnesota pour l’économie de marché au Bethel University de St. Paul : « [Au cours de la conférence des Nations Unies sur le changement climatique qui se tiendra] à Copenhague au mois de décembre, dans quelques semaines, un traité sera signé ».
« Votre président le signera. La majorité des pays du tiers-monde le

signera aussi parce qu’ils pensent pouvoir obtenir des fonds. La plupart des régimes de gauche de l’Union européenne le tamponneront.
En somme, tout le monde le signera », a-t-il annoncé à l’audience constituée de près de 700 auditeurs.
« J’ai lu ce traité et il stipule la création d’un gouvernement mondial. Le mot « gouvernement » semble constituer le premier des trois objectifs de la nouvelle entité ».
« Le deuxième objectif est le transfert des richesses des pays occidentaux vers les pays du tiers-monde pour satisfaire ce qui est appelé, avec fausse modestie, la « dette climatique » -parce que nous émettons du CO2 et non eux. Nous perturbons l’atmosphère, ce qu’ils ne font pas. Le troisième et dernier objectif de cette nouvelle entité est que ce gouvernement fasse le poids ».



Lors d’une présentation d’une heure et demie des données scientifiques (sur diapositives) présentant de nombreux problèmes liés au climat, Monckton a réfuté les propos avancés par l’ancien Vice-président Al Gore dans son film et livre intitulé « An Inconvenient Truth », ainsi que les arguments scientifiques avancés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
Monckton soutient que le président Obama signera le traité de Copenhague pendant la réunion de décembre, sans l’approbation de deux-tiers du sénat sur la ratification traité, ou toute autre approbation provenant du Congrès.
Il ajouta : « Alors, je remercie les États-Unis. Vous avez joué un rôle phare dans la lutte pour la liberté dans le monde. C’est un privilège de se placer sur cette terre de liberté pendant qu’elle est encore libre. Mais, dans les prochaines semaines, à moins que vous ne l’empêchiez, votre président sacrifiera votre liberté, votre démocratie, et votre humanité pour toujours ».
« Mais je pense que c’est ici, dans votre grande nation, que j’aime tant et que j’admire tant - c’est ici peut-être, à onze heure, cinquante-huit minutes et cinquante-neuf secondes, que vous vous lèverez et que vous empêcherez votre président de signer cet horrible traité, ce traité sans but. Car, le climat n’a aucun problème et, même s’il en avait un, un traité économique ne lui serait d’aucune aide ».
Monckton est un critique de renom en ce qui concerne la théorie sur les causes anthropogéniques du réchauffement climatique. Il a soutenu à maintes reprises que l’hystérie du réchauffement climatique reflète la position idéologique de la politique de gauche, déterminée à imposer des taxes mondiales aux États-Unis en quête d’une surveillance internationale de l’économie des États-Unis, sous le nom d’un gouvernement unique mondial orchestré par le Nations Unies.
L’exposé de Mockton est disponible en ligne. Ses diapositives sont également accessibles sur Internet.
Où est passé le réchauffement climatique?
De nombreuses preuves montrent que les États-Unis s’avancent vers un cycle de refroidissement qui pourrait durer des décennies. Des spécialistes du domaine climatique de l’administration d’Obama restent déterminés à encourager une législation qui vise à réduire l’émission du dioxyde de carbone et à un prix abordable par le biais du congrès sur la théorie vivement doutée selon laquelle les émissions du carbone anthropique causeraient le réchauffement climatique.
Ce qui pourrait être considéré comme une très mauvaise nouvelle pour les alarmistes du réchauffement climatique est que des preuves scientifiques montrent que les températures des États-Unis ont baissé à un taux qui pourrait tomber à 7,3 degré Fahrenheit au cours du siècle à venir.
John Oldren, l’autocrate scientifique de Monsieur Obama aurait-il raison ? Un nouvel age de glace se faufilerait-il à l’horizon?
Le WND a rapporté que l’autocrate scientifique de la Maison Blanche, John Holdren, a prédit qu’un milliard de personnes mourront d’« une famine provoquée par le dioxyde de carbone » dans un nouvel âge de glace d’ici 2020.
Même si la position actuelle de Holdren est que les États-Unis ont besoin de promulguer la loi réduisant les émissions de dioxyde de carbone et à un prix abordable, pour ralentir le réchauffement climatique.
Il avait prédit dans un livre paru en 1971 et coécrit avec Paul Ehrlich que la croissance démographique entraînerait la Terre vers un nouvel âge de glace, à moins que le gouvernement ne prenne des mesures urgentes permettant de contrôler cette croissance, et la possibilité de mettre sur pied des mesures anticonceptionnelles telles qu’une stérilisation forcée.
La prévision de Holdren selon laquelle un milliard de personnes mourront du refroidissement mondial ou « désastre écologique » avait été annoncée par l’alarmiste démographique malthusien Ehrlich dans son livre intitulé The Machinery of Nature.



Holdren avait basé ses prévisions sur une théorie bizarre selon laquelle les émissions anthropiques de dioxyde de carbone engendreraient une catastrophe climatique au cours de laquelle le réchauffement climatique causerait un refroidissement global aboutissant à une réduction de la production agricole et entraînant un désastre d’envergure.
Dans les pages 273-274 de The Machinery of Nature, Ehrlich explique la théorie de Holdren en soutenant que « certaines localités deviendraient probablement humides au moment où la chaude atmosphère écarterait plus rapidement le moteur climatique des pôles ». (Emphase dans le texte original).
Le déplacement de l’air glacé des pôles causé par le réchauffement climatique « pourrait réduire les rendements agricoles pendant des décennies, voir davantage – une recette sure pour les catastrophes dans un monde constamment surpeuplé », écrivait Ehrlich.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire